Depuis que son père l’a emmené un soir à Geoffroy-Guichard, « dans l’enfer vert immaculé » comme le chantait Renaud, le narrateur a les Verts dans la peau.
Une passion folle et dévorante. Dans cette balade stéphanoise, l’auteur ne masque rien du regard des autres et, certaines fois, de la déraison qui accompagne cet attachement.
Ce premier roman nous plonge dans la vie d’un fan avec une certaine douceur du verbe. Il nous raconte une émancipation par le truchement de l’amitié, de l’amour. Et, au final, se dessine une forme de quête absolue pour un sport qui a bien changé en quarante ans, un sport dans lequel le héros finit par ne plus se reconnaître.

• Tirage 3000 ex.
• 140×210
• 220 pages