C’est d’abord l’histoire d’une rencontre. Celle entre Ernest Pignon-Ernest, l’un des plus grands plasticiens français, connu pour avoir été l’un des précurseurs de l’art urbain, récemment installé à l’Académie des Beaux-Arts, et Pierre-Louis Basse, écrivain à la vingtaine d’ouvrages, fervent amoureux du sport et qui n’a jamais cessé d’en faire un objet culturel à part entière.
Cette rencontre sonne comme une évidence. L’un proposant plus d’une centaine de dessins. C’est le travail d’un Maître. L’autre lui prêtant sa plume. Et quelle plume là encore ! Le résultat : un livre où une trentaine de figures de l’olympisme, d’Owens à Riner en passant par Zátopek, Fosbury, Besson, Comăneci, Spitz, Borzov ou Clay, sont sublimées. Un ouvrage qui raconte les Jeux olympiques à travers celles et ceux qui ont créé une rupture dans l’art de leur sport.
Un livre unique.